Centre d’hébergement de soins de longue durée (CHSLD) et Maisons des aînés et alterntive (MDAA)
Les professionnels de la réadaptation travaillent en étroite collaboration afin de maximiser les services offerts aux résidents. Il peut être difficile de différencier leurs rôles, car ils interviennent parfois pour un même besoin avec un même objectif, mais leurs actions sont complémentaires.
Leur rôle débute dès l’arrivée d’un nouveau résident. Il se poursuit tout au long du parcours d’hébergement et jusqu’à la fin de sa vie.
Dès l’arrivée dans le milieu de vie
Une évaluation est réalisée par chacun des professionnels afin de bien connaître le résident et ses besoins. En fonction des besoins identifiés, ils établissent des objectifs de suivi, en collaboration avec le résident ou son représentant et l’équipe interdisciplinaire. Ceux-ci visent principalement le maintien et/ou l’amélioration des capacités, la sécurité, le confort et le soulagement de la douleur.
Pendant l’hébergement
Les professionnels assurent un suivi et réévaluent leurs actions en fonction de l’évolution des besoins. En tout temps, ils veillent à enseigner au résident, à ses proches et au personnel les techniques et les équipements à utiliser.
En fin de vie
Les actions des professionnels visent principalement à maximiser le confort et à soulager la douleur.
Présents aussi pour les proches
Tous les professionnels sont présents pour les proches afin de répondre à leurs questions, que ce soit sur les interventions, les recommandations, les équipements ou sur tout autre sujet.
Lors des soins de fin de vie, il s’assure que les transferts et les déplacements soient sécuritaires et confortables.
Lors des soins de fin de vie, il s’assure de la mise en place d’aide à la posture et au positionnement afin de prévenir les plaies de pression et d’assurer le confort.
Lors des soins de fin de vie, il s’assure que le matériel est adapté à la nouvelle condition du résident (matelas, fauteuil, coussins de positionnement, etc.) afin de prévenir les plaies de pression et d’assurer le confort.
Lors des soins en fin de vie, puisque les apports alimentaires diminuent, une évaluation est réalisée. Le refus de s’alimenter peut également se présenter et de l’enseignement doit être fait auprès des équipes. L’hydratation est également revue lors de cette évaluation.
Lors des soins en fin de vie, des exercices visant à atténuer les douleurs ou les inconforts peuvent être recommandés si le résident et/ou sa famille le souhaitent.